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Luena — Un livre traitant des affaires de corruption dans les services judiciaires et de la santé et des conséquences de l’exploitation forestière dans six régions de l?Angola a été publié mardi par l’Institut pour la citoyenneté « Mosaiko ».
Intitulé « Évaluation participative sur l’accès à la justice », le livre décrit de manière quantitative et non numérique les accusations de sorcellerie, de viol et de violence domestique dont les victimes sont des enfants et des femmes adultes.
Djamila Ferreira, membre de Mosjamko, a expliqué que le livre, à caractère social décrit également comment ces actes ont été résolus sans l’aide du système judiciaire et des autorités traditionnelles.
Le livre comprend également des entretiens avec des personnes ayant connu des cas de corruption dans les services de justice et de santé, ainsi que sur l’exploitation forestière sans discernement.
Djamila Ferreira a déclaré que dans les communautés productives, par exemple Moxico, la dévastation de la forêt avait entraîné la disparition de certaines espèces d’arbres typiques et des abeilles.
Pour la production de ce travail, l’Institut « Mosaiko » a mené, pendant trois ans, une étude sur les principaux types de conflits, crimes et problèmes rencontrés par les communautés, ainsi que les formes dont les conflits sont résolus dans les régions reculées du pays, dépourvues d’institutions judiciaires.
En lançant ce livre, l’évêque du diocèse de Luena, Mgr Jesus Tirso Blanco, a défendu l’inclusion des Forces armées angolaises (FAA) dans la supervision de la production de bois.
Il a également demandé aux entreprises qui exercent cette activité de respecter les contrats, notamment en matière de préservation de l’environnement, et de réaliser leurs actions sociales au profit des populations des zones d’exploitation, conformément à la loi.
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